La méditation du matin douce beauté ? (Libre)

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Un jour de plus en Luméor. Un jour de plus a vivre ici dans cette cité faites d'hommes courageux et de femmes dévoués à la liberté.Un jour de plus pour Viriand qui sert ce peuple. Comme tout les matins il c'était rendu dans le glacier d'argent pour méditer. Là bas il y avait assez de place pour les guerriers. Viriand lui ne prenait qu'une petite place dans un terrain glacer; La neige tombait encore ce matin. Le jeune commandant était assit dans la neige, habiller comme toujours avec des vêtements doux et chaud, ses cheveux contenait des perles de neiges, les yeux fermés Viriand avait l'esprit ouvert sur le monde; La nature pour être plus précis car comme lui avait dit son père jadis lorsque le combat est là n'oublie pas que ton allié unique et sur est la nature le reste ne compte pas.

Alors que la méditation était parfaite le jeune homme se leva lentement il ouvrit les yeux et vit la glace qui entourait ce monde. Le ciel blanc lui rappelait la douceur de son chez lui. Chaque matin il faisait ce petit rituel de méditation et être en harmonie avec son allié la nature.

Néanmoins cette méditation ne se termina pas par une simple prière . En effet Viriand s'empara ensuite d'une épée en bois qui était sous la neige. Avec celle-ci il fit de nombreux mouvements comme parer,frappe frontal,esquive et j'en passe...Viriand consacrait sa vie au combat. Pour lui c'était l'unique élément qui lui donnerai la chance de vivre dans un monde meilleur. Ainsi son arme ne fit plus qu'un avec lui. Il ne sentait plus le froid qui glaçait ses os ou bien la neige qui troublait ses sens, à cette instant il n'y avait plus que l'arme et lui. Cette danse avec la lame était pour une un moyen de s'échapper du monde que constituait Lumèor. Bien qu'il s'y plaisait à vivre, l'idée d'être chez soi ici n'était pas dans son esprit. En effet les choses étaient différentes ici. Il faillait montré la meilleur image de soi dans les rues sinon on n'était vu comme un parias.C'est d'ailleurs pour cela qu'il étudia l a politique ou bien les traités qui n'était rien...pour lui Il voyait sa comme des jouets des autres peuples...En tout cas l'entrainement le rassurait il voyait que ses talents étaient toujours là mais aussi que son charisme augmentait. En ayant ce rituel respecté chaque jours par ses hommes Viriand savait ainsi que les Hikaris qui se battaient avec lui le voyait comme leur commandant et qu'ils lui devaient respecté et obéissance. Le silence de l'aube était encore présente pendant que le jeune chef faisait siffler l'air à travers cette épée d'entrainement.

Cependant ce calme et cette danse d'arme prit fin délicatement quand il entendit une voie l'appeler. Non pas par son nom mais par son grade de commandant...Il posa l'épée délicatement dans la neige. Il fit un sourire étrange aux cieux puis il se retourna vers la personne qui l'avait appelé tout en remettant correctement ses cheveux fins.

Je vois qu'on n'a pas écouté une fois de plus mes ordres ...Quand y aura il une personne apte à comprendre que je ne veux pas que l'on me dérange...Le roi ne peut il comprendre ...Si il veut que je mène son peuple à la victoire ne sait il pas que j'ai besoin de me retrouver seul un peu dans la journée...

Comme toujours Viriand ne voulait qu'on ne le gêne pendant ce rite personnel les soldats le savaient c'est pour cela que même avant de regarder la personne il parla du roi car il savait que c'était surement un valet ou autre envoyer du roi qui demander conseil ou je ne sais quoi ...Bien qu'il était respecté par ses hommes le monde de Luméor avait encore du mal a accepté cet homme...Mais il ne pouvait pas avoir tout de toute façon il s'en fichait tout ce qu'il voulait c'était servir leur cause; Il n'était pas un héros ni un martyre c'était un simple commandant

Un ciel sans nuage se présentait ce jour là. Dès le matin, le Soleil faisait scintiller de mille feux la neige qui couvrait toits et sols. La princesse aînée, vêtue d'une longue robe jaune, était en route vers la caserne voir ce qu'il s'y faisait là-bas. Enfin, c'est ce qu'elle avait trouvé comme excuse. Mais dans la minute qui venait, elle avait un besoin existentiel de quitter le château. L'atmoshpère que créait son père, le Roi, avec ses tensions à la noix énervait plus que tout auttre chose Eva, et elle avait besoin de se défouler. Elle aurait certes, apprécié, se libérer de ce qu'elle ressentait avec son père, mais elle l'avait déjà fait une fois, ce moment était toute sa fierté, elle ne comptait pas le faire une nouvelle fois. Il y avait suffisamment de rivalité entre elle et lui, cela suffisait amplement. Eva ne prit même pas le temps de se changer, elle ne voulait pas faire de détour qui lui semblait inutile. Lorsqu'elle traversait les couloirs, descendait les escaliers, toutes les personnes s'inclinaient poliment et respectueusement en guise de salut. Eva, en échange, hocha la tête, et les salua, avec tout sourire. Ce n'était parce qu'elle était en colère, qu'elle devait le montrer et le déverser sur ceux qui n'y sont pour rien. Elle arriva à la caserne, après une petite marche de cinq minutes environ. Quand elle entra, toute activié cessa, comme si l'horloge se stoppa d'une façon brusque. Un grand silence règna dans toute la salle, tous les yeux rivés sur la princesse. Un soldat s'approcha, baissa la tête, disant d'une façon très timide "Dame Eva". Cette dernière lui sourit, et regarda chaque visage présent dans la salle. Elle avança de quelques pas, seuls ceux-ci résonnaient sur le sol dur et bétonneux. Le soldat était resté planté, et trouve enfin l'usage de sa langue de façon correct.

"Nous n'étions point averti de votre visité, Altesse, pardonnez-nous de ce ..."

Eva tourna la tête, et fit un clin d'oeil au soldat. Certainement une nouvelle recrue, timide comme il était. Elle se dirigea ensuite vers une épée posée sur une table, la prit, et fit quelques maniements simples, puis répondit :

'Je ne vois pas où est la nécessité d'avertir. Si c'est pour que vous rangiez cette salle de fond en comble, pour cacher quelconque apparence, cela n'en vaut pas la peine. Cet endroit ne doit pas ressembler à la salle du trône, qui est lavée en permanence." Elle haussa un sourcil et regarda autour d'elle, soupira, puis dit "Je ne voulais psa vous déranger durant vos activités, reprenez donc, je n'ai pas d'objectif particulier, continuez donc !"

Après ces paroles, tout redevint comme avant. Les bruits de fer résonnait, les cris des entraîneurs survolaient toute la pièce. Le jeune soldat s'approcha doucement d'Eva, cette dernière l'ayant appelé. Elle redéposa l'arme à sa place, et demanda ensuite :

"Etes-vous venu de votre plein gré ? Et répondez-moi sincèrement, je vous prie."

"Heu... à vrai dire ... Madame, heu ... le Roi a voulu un maximum d'hommes pour une guerre prochaine, et a engagé lun grand nombre d'hommes dont moi."

"Vous me semblez bien jeune homme, pour qu'on vous qualifier d'homme. Alors, il prévoirait une guerre ? Le sang doit certainement lui manquer pour qu'il risque la vie d'adolescents." dit-elle d'un ton méprisant, se diant que c'était une honte d'avoir un Roi comme celui-ci. Vivement que son frère lui prenne sa place, peut-être aura-t-il l'esprit u peu moins déchu que son prédécesseur !

Le soldat ne dit rien, ne sachant quoi répliquer. Il se trouvait dans une situation honteuse, et hors du commun, entendre une princesse dire du mal de son père, et prendre la défense du peuple plutôt que du Roi, chose bien rare ! Eva soupira, et posa une dernière question :

"Savez-vous où se trouve le Commandant Rigano, par hasard ?"

"Madame, il nous a dit qu'il méditait, et ne voulait être en aucun cas dérangé, sous aucun prétexte."

"Et bien, je vais aller le perturber, dans ce cas. Consuisez moi à lui je vous prie" dit-elle en souriant au jeune homme.

Ce dernier s'inclina doucement, puis commença sa route, Eva lui suivant de près. En passant, elle regarda tous ceux qui s'entraînait avec plus ou moins d'ardeur. Ils quittèrent tous dx la salle, et en quelques minutes, atteingirent la destination déterminée précedemment. Ils se trouvaient à présent à une dizaine de mètres de Viriand, et Eva savait pertinemment qu'il avait senti leur présence. Le commandant répliqua donc ensuite sa phrase, et il y eut un silence Elle chuchota au soldat novice comme quoi il pouvait se retirer. Il s'inclina une nouvelle fois, et rebroussa chemin. On l'entendait bien courir avec ses protections métalliques qui s'entrechoquaient. Eva croisa les bras, et restait sans voix, avec un grand sourire malicieux sur les lèvres. Elle se mit en suite à rire, et dans cet élan répliqua :

"Il est sûr que si vous me considérez comme un soldat, Commandant, nous n'allons pas bien nous entendre !"

Elle cacha sa bouche avec sa main, puis se calma un peu, pour répliquer par la suite :

"Et non, le Roi ne comprend rien, pas même ses propres enfants. Bien lamentable comme comportement."

Elle espérait ne pas trop choquer Viriand par ses propos, mais on peut dire n'a pas vraiment la langue dans son sac, sa franchise lui apportait parfois défaut. Elle s'approcha du capitaine, ses bottes s'enfonçant légèrement dans la neige.

"Comment vous portez-vous ?"

Il n'avait pas rêvé dans cette neige fraiche et douce. Son nom était demandé. Quand il ouvrit les yeux vers le personnage qui osait le dérangé il la salua d'un signe de la tête. Une fois de plus elle parla sans librement en laissant passer son esprit avant les bonnes manières. Elle parlait aussi de son père comme quoi il ne comprenait pas ses enfants. Viriand leva les yeux légèrement en souriant puis il s'avança vers la princesse.

Et bien sachez princesse que votre père est au fond un homme bon mais je pense que lorsque on est roi d'un peuple comme le votre il faut avoir une main de fer dans un gant de fer. En tout cas votre visite m'enchante princesse, je ne m'attendais pas à vous voir en ce lieu si...Militaire.[

Il jeta l'épée d'entraînement derrière la princesse la où le sol n'était pas enneigé et il reprit avec une voie légère

Comment je me porte ? Ma fois bien princesse merci de vous soucis de ma vie. J'espère que la votre se porte au mieux. En tout cas je suis ravi de voir que notre caserne convienne à vous dame Eva. En effet je n'es pas l'habitude que des gens de la famille royale vienne ici.

Il garda son regard dans le sien et reprit la parole alors que le froid glacé passa dans un vent léger. Viriand le voyait avec les cheveux de la princesse qui volait au vent légèrement et aussi parce que son corps sentit ce froid lui traversé les os.Il ne comprenait pas pourquoi on venait le voir ici...D'habitude c'était le roi qui venait et ceci n'était pas une visite surprise...C'est ainsi qu'apparus un regard curieux sur Viriand

Mais Dame Eva si je puis me permettre quesque vous venez faire ici ? Soyez honnête avec moi vous n'allez pas me dire que vous êtes ici juste pour savoir comme je me porte ?

Il rigola légèrement tout en mettant sur lui un manteau de fourrure d'ours. Une fois son regard noyer dans celui de la princesse une nouvelle fois il essaya de savoir ce qu'elle voulait

Vous êtes ici pour un guerrier qui vous plait ? Voulez qu'un de mes hommes deviennent un de vos gardes royaux ? Vous savez vous pouvez tout me dire je n'irai pas le raconté à votre père. Je ne suis pas du genre à faire la nounou et raconter touts les secrets aux parents...

Il ria de nouveau et attendit des réponses...Allez il en avoir ceci était une autre affaire...

HJ: désoler du retard et pour les fautes je corrige plus tard pas le temps là :S

Etait-ce vraiment si étonnant que ça qu'Eva se rende en ce lieu d'entraînement ? Il est vrai que ces dernières années, elle sortait beaucoup avec Keyran, et s'entraînaient ensemble dans des endroits isolés. Le capitaine détestait devoir entraîner son élève devant tous les autres hommes. Mais depuis qu'elle n'est plus sous son aile, elle s'y rendait de temps en temps, pour voir ce qu'il se passait. Elle apprenait parfois bien plus de choses dans le camp que dans le château. Etrangement, Eva n'avait pas du tout le même point de vue que Viriand, vis-à-vis du Roi de Luméor. Enfin, Viriand devait le respecter avant tout, c'était compréhensible. Elle soupira en entendant ce qu'il disait et répondit, en haussant un sourcil :

"Eh bien, Commandant, prenez l'habitude dorénavant d'avoir ma présence en ce lieu. Je m'intéresse beaucoup au côté militaire du Royaume, contrairement à ce que l'on peut penser. Je ne veux pas me montrer arrogante, du tout, mais j'estime avoir le minimum d'expérience requis pour que je sois présente des décisions prises quant à l'armée. Quant au Roi ... oui, il a bien une main de fer, mais il n'est pas ... "bon", aveugle oui. Enfin, mon avis ne doit vous apporter que très peu, donc il n'est pas nécessaire d'en rajouter à ce sujet, si vous le permettez."

Elle marqua une pause, et regarda quelques instants l'épée qui se trouvait à terre. Elle la ramassa et la regarda, silencieusement. Le Commandant des armées fit une rafale de questions quant à la présence d'Eva. Cette dernière sourit, et se disait qu'elle trouvait étonnant que Viriand fut si perplexe. La question qui la fit rire était "Vous êtes ici pour un guerrier qui vous plait ?". Voilà bien le cadet de ses soucis ! Avoir des vues sur des hommes, des militaires surtout.
Eva n'avait jamais vraiment songé à sa vie amoureuse jusque là. Bien sûr, se marier avec un haut placé ou autre arrangerait bien son père. "Etant donné ton rôle de soeur aînée, tu dois montrer à tes petites soeurs la démarche à prendre". Eva avait une démarche, mais pas tout à fait la même que son père. Et elle comptait bien la montrer à ses soeurs . Naessa en connaissait déjà une partie, puisque les deux là, passaient une majeure partie de leur temps ensemble, sa soeur savait parfaitement le point de vue de sa soeur.
La princesse fit quelques gestes avec l'épée, avec agilité. Elle répondit ensuite à ses nombreuses questions, par des questions.

"Non, je ne suis intéressée par quiconque ici. Je suis venue pour des sujets certainement plus fâcheux...Comment expliquez la présence de si jeunes recrues ? Le Roi aurait-il des projets ?"

Elle marqua une pause et reprit :

"Est-il donc si pressé d'en finir avec les Kurogaris ?"

[HJ : Désolée, je ne suis pas dans une grande période d'inspiration >.> Et pour les fautes, tant que tu les corriges, ça me va ^^"]

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