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 Les clans (Kurogari,Hikari...)

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Ambre
Vilaine déesse
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Ambre


Féminin Nombre de messages : 504
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Localisation : Partout, omniprésente pour vous surveiller... mouhahah
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MessageSujet: Les clans (Kurogari,Hikari...)   Les clans (Kurogari,Hikari...) EmptySam 1 Nov - 5:49

Les différents clans


Ici vous trouverez un descriptif de la mentalité et des aspirations des clans. Vous n'êtes pas obligés de "coller" à cette mentalité, bien sûr, mais vous en aurez besoin pour savoir quelle sera l'ambiance de la cité.

Like a Star @ heaven Les kurogaris

(Merci à Viriand pour l'aide qu'il a apporté pour le Background)

Histoire :

Au départ ce peuple était tout simplement comme les autres. Une petite communauté humaine décidée à se serrer les coudes dans ce nouveau monde étrange et apparemment hostile. Ils étaient comme leurs frères, faibles et effrayés par le monde qui s'offrait à eux...Mais petit à petit, un homme nommé Aliénor sembla se démarquer des autres en prenant la tête de la petite communauté, en accomplissant des exploits, en devenant le héros qui les sauvait des dangers. Cet homme, ambitieux, permit de sécuriser les kurogaris, de placer le village dans un endroit particulièrement bien protégé. Il prit lui-même les armes plus d'une fois, et plus qu'un héros il devint le dieu de leur communauté. Il leur donna beaucoup de choses, il aida à la construction des écoles, à la création et à la formation d'une petite armée...

Dans les débuts, tout se passait bien, malgré quelques tensions comme il y en a dans toute civilisation. Le village commença à se développer, le village devenait de plus en plus grand et Aliénor décida de faire construire des murailles afin d'améliorer la sécurité. Le village se transforma peu à peu en cité, une cité de plus en plus grande. Le fils d'Aliénor reprit la succession à la mort de son père, puis son fils après lui. Ce fut ce petit-fils, Valérion, qui laissa le pouvoir lui monter à la tête. Plus ambitieux encore que ses ancêtres, il utilisa son titre et la renommée de son ancêtre pour lancer des campagnes armées sur les villages alentours. Les kurogaris étant mieux armés et plus développés, ils enchaînèrent les victoires, annexant, absorbant les autres villages d'une manière impitoyable, s'appropriant leurs technologies et proposant à ces villages de se joindre à eux ou de devenir esclaves... A moins bien sûr de préférer la mort. C'est ainsi que les Kurogaris commencèrent à vivre dans un règne impérial.

Les années passèrent et à chaque fois un nouveau roi absolu prenait place sur le trône des kurogaris. A travers les âges, ce peuple commença à sentir l'union se former, ils étaient une communauté soudée, vivant dans la paix et l'harmonie, ou presque. Le sentiment de puissance, enivrant, vint les convaincre de leur supériorité, et les conquêtes continuèrent d'une manière plus acharnée que jamais, intégrant les villages en une nation unie, parfait à leurs yeux. Les autres villages, si petits, qui se disputaient entre eux, ne valaient rien à leurs yeux. Ils n'étaient qu'une gêne à leur monde parfait. Ce règne de violence dura jusqu'à la mort de Valérion. Il n'avait pas d'enfant, la communauté des kurogaris commença à se disperser, à plier sous les guerres civiles. Jusqu'au jour où trois anciens conseillers décidèrent de prendre le pouvoir, fondant un triumvirat et imposant de nouveau l'ordre par la violence. Peu à peu, le calme revint et il fut décidé depuis ce jour que les trois membres de triumvirat serait régulièrement remplacés par des élections du peuple.

Mentalité
Le peuple est plutôt unis, autant qu'on peut l'être dans une immense capitale. Disons qu'il n'y a pas de tensions particulières internes. Ils sont ouverts aux étrangers et la plupart des kurogaris sont complètement indifférents à cette histoire de conquête. D'autres, en revanche, y tiennent beaucoup et mettent tout en oeuvre pour pacifier le monde, quitte à se montrer impitoyable. Ce sont ces personnes là, un peu fanatiques, dont il faut se méfier. Ils sont capables de tuer de sang froid des innocents, tout simplement parce-qu'ils n'appartiennent pas à leur clan. Il ne faut pas non plus considérer les kurogaris comme dans "gentils". Les conquêtes connaissent leur dose d'horreur et de violence. Les mariages chez les kurogaris se font sous le regard des parents vivants et ils doivent être bénis par au moins cinq personnes. Les enfants sont élevés chez leurs parents, où ils apprennent les bases pendant 10 ans (lecture, écriture, calculs...), puis ils sont conduits dans une école (magie ou guerrier.)

Leur but ultime
L'objectif de ce peuple est de soumettre les autres à leurs idées utopiques.


Like a Star @ heaven Les hikaris

(Merci à Viriand pour l'aide qu'il a apporté pour le Background)

Histoire :

Parmi les humains qui arrivèrent sur Echino, certains formèrent une communauté, un petit village sous les ordres d'un chef plutôt sage et un peu trop passif. Alors que les kurogaris se développaient technologiquement, ce petit peuple se contentait de vivre paisiblement, essayant d'éviter les dangers de la nature, survivant au mieux en pleurant leurs morts régulièrement. Ils étaient faibles mais ça ne les dérangeait guère. Ils vivaient d'une manière simple. Jusqu'au jour où les kurogaris commencèrent à vouloir dominer le monde, à étendre leur influence. Les différents villages alentours se concertèrent afin de savoir ce qu'il convenait de faire. Certains décidèrent de rallier les kurogaris afin d'avoir une intégration pacifique, d'autres préférèrent la lutte. Mais lutter contre les kurogaris, c'était comme affronter un géant en armure avec un bout de bois. Les kurogaris écrasèrent impitoyablement les villages résistants, les brûlants, tuant les hommes, violant les femmes, égorgeant les enfants... Les survivants qui parvinrent à échapper partirent se réfugier dans des villages plus lointain. Mais certains hommes parmi les rebelles furent capturés et conduits comme esclaves. L'un d'eux s'appelait Gardonisse. Il connut les kurogaris, il vécut parmi eux et appris à déceler leurs faiblesses. Lorsqu'un jour, il parvint à s'échapper dans le meurtre et le sang, il regagna un village éloigné dans lequel se trouvait la plupart des survivants de la bataille. Faisant preuve de charisme et d'ambition, il parvint à convaincre de nombreuses personnes de se lier à sa cause, d'utiliser ses connaissances pour faire tomber les kurogaris, pour venger leurs frères, leurs femmes, pour éradiquer cette menace qui les empêchait de vivre en paix.

Les rebelles furent conduits dans les glaces, les montagnes isolées et gelées. Les premières semaines, alors que les abris n'étaient pas encore monté, le nombre de mort fut impressionnant. La mort, omniprésente, frappait impitoyablement par l'intermédiaire de Dame Nature. Pour ce peuple survivant, c'était une lutte de chaque instant. Dix années passèrent avant que les petits abris ne deviennent finalement une cité de glace. Les nouveaux-nés développèrent une résistance particulière au froid. Mais les conditions bien difficiles de vie, en plus de leurs ambitions, commencèrent à les rendre un peu paranoïaques. Ils redoutaient les espions, ils redoutaient que les kurogaris ne viennent et ne parviennent à les détruire. En réalité, ils redoutaient surtout de souffrir en vain. Pour ces raison, les étrangers étaient impitoyablement éliminés. Aucun espion ne viendrait chez eux... Ils vécurent ainsi, renfermés sur eux-mêmes comme un bloc de glace incassable. Gardonisse se nomma lui-même roi du peuple. La citée fut baptisée Luméor, le peuple les hikaris. Ce nom, qui signifiait lumière, était une provocation envers les kurogaris. Gardonisse imposa ses lois et la monarchie s'installa, jusqu'au jour où le roi mourut sur son trône, image de splendeur figée à jamais dans l'éternité. Avant de partir, il avait laissé, gravé sur sa couronne, une phrase qui devait donner à celui qui gouvernait la force de commander.

"Plais à ton peuple avant tout. La traîtrise, la ruse et autres atouts te sont autorisés tant que tu plais au peuple..."

Ainsi les héritiers mâles de la monarchie des hikaris se succédèrent-ils sur le trône, usant de toutes les bassesses possibles pour obtenir le trône, allant parfois jusqu'au fratricide. Les rois s'assuraient toujours d'avoir une descendance nombreuse, de manière à avoir au moins un héritier sur le trône à sa mort. Cependant, à rester ainsi cacher et à s'entraîner dans le froid, les hikaris commencèrent peu à peu à oublier leurs objectifs, à vivre et à lutter contre la montagne plutôt qu'à chercher à détruire les kurogaris. Un nouveau roi arriva au pouvoir, un roi ferme, glacial, qui commença à réveiller le courage et l'ambition des hikaris. Aussi charismatique et implacable que le premier roi, Gardonisse, ce nouveau monarque semblait prêt à tout pour "plaire au peuple", mais surtout pour les conduire à la victoire. Dès lors, les hikaris commencèrent à sortir régulièrement par petits groupes telles des patrouilles. Les hikaris devaient se réhabituer à la température ambiante et à la chaleur, ils devaient aussi prendre des nouvelles du monde. Et une fois que tout ceci serait fait, ils retomberaient sur leurs ennemis, tels des fantômes du passé.

Mentalité
Les hikaris sont des guerriers froids, implacables, à l'image de la montagne glacée qu'ils habitent. Très renfermés sur eux-mêmes, ils sont un peu paranoïaques et sont capables de tuer un innocent, fusse-t-il enfant, du moment que leur cité reste à jamais cachée. Plutôt hostiles envers les inconnus, ils restent entre eux très soudés et très fraternels. Le roi donne les ordres, tout le monde s'exécute sans discuter. Les enfants royaux sont toujours aussi nombreux, car les traîtrises perdurent et la mort les menace de très près. Les hikaris ont retrouvé leur rage de vaincre et s'apprêtent plus que jamais à exterminer les kurogaris. Les mariages chez les hikari se font sous le regard du roi, qui doit bénir l'union... et souvent, le roi décide de passer la nuit de noce avec la jeune mariée, il en a parfaitement le droit. Les enfants sont élevés par le couple mais très tôt les enfants sont envoyés dans une école, école de magie ou école des guerriers. De préférence l'école des guerriers...

Leur but ultime
Détruire les kurogaris, peu importe les moyens.


Like a Star @ heaven Les kaiyous

(Merci à Eva pour l'aide qu'elle a apporté pour le Background)

Histoire :

Le peuple marin a vu le jour bien avant la fin des dieux. Personne ne sait quand ils sont apparus, ou plutôt à quel moment ils sont passés du stade de poisson à celui de créature marine. Les kaiyous sont là, c'est tout ce qui compte. Mais quel étrange peuple ! Leur histoire n'est pas marquée par les guerres ou par la haine, les kaiyous sont de bons vivants, pacifiques et plutôt indifférents à ce qu'il se passe dans le monde. Une seule cité a vu le jour, créé par un roi triton sage et expérimenté. Il était très bien vu, cependant les femmes étaient plus nombreuses et le roi lui-même ne donna naissance qu'à des filles. Sa première fille, lorsqu'elle devint reine, ne donna à son tour que des héritières. A partir de ce moment-là et sans réel décret, il fut décidé que la succession de ferait de mère en fille. Tout était parfait, malgré les dangers de la mer, les kaiyous survivaient très bien. Puis vint l'avènement de la fin des dieux...

Les guerres divines ne les avaient pas concernés, les océans étaient restés calmes et paisibles. A cette époque, le peuple marin s'était développé jusqu'à créer plusieurs cités. Il se promenait régulièrement sur la terre ferme et nourrissait de bonnes relations avec le peuple de la forêt, les elfes. Lorsque l'explosion monumentale retentit, les kaiyous prirent peur et décidèrent de se cacher un moment sous l'eau. Ils n'apprirent l'arrivée des humains que des années plus tard, lorsque les premiers bateaux commencèrent à perturber les océans. Les premiers kaiyous essayèrent de faire leur connaissance, intrigués, mais la reine le leur interdit. Elle trouvait ce peuple étrange et dangereux. Elle avait d'ailleurs bien raison. La pollution... devint peu à peu le fléau des kaiyou. Pas au point de les détruire, mais suffisamment pour leur rendre l'existence plus délicate.

Et puis un jour, une sirène désobéit aux ordres donnés. Elle intervint lors d'un naufrage, sauvant un humain. Une histoire d'amour impossible qui devint légende lorsque la sirène quitta son peuple pour vivre avec son aimé. Elle commença petit à petit à expliquer qui étaient les kaiyous, mais les humains n'étaient pas encore prêts à accepter et elle connut une fin horrible, assassinée par une bande de brutes. Les kaiyou ne firent que se cacher davantage. Peu à peu, leur race commença à s'éteindre pour une mystérieuse raison. Sans doute la pêche, les filets... Les kaiyous mouraient. Les cités s'éteignirent pour ne garder que la capitale, la magnifique et lumineuse capitale.

Mentalité
Les kaiyous sont de bons vivants, ils aiment faire la fête, danser, chanter, mais leurs colères sont terrifiantes, voire mortelles. Ils se cachent le plus possible des autres espèces, à l'exception des elfes avec qui ils ont un bon contact. Personne ne vient chez eux, mais si un étranger parvenait à franchir leur cité, il serait très certainement amené à la reine, qui déciderait de son sort. Les mariages n'existent pas pour eux, les kaiyous savent aimer mais profitent surtout de la vie. Il n'y a d'ailleurs que très rarement des sentiments de jalousie. Les enfants sont élevés par leur mère et s'intègrent rapidement à la communauté.

Leur but ultime
Vivre, tout simplement, sans se soucier du reste, et faire la fête.
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MessageSujet: Re: Les clans (Kurogari,Hikari...)   Les clans (Kurogari,Hikari...) EmptyLun 3 Nov - 20:46

Like a Star @ heaven Les calmetiens

Histoire :

Lorsque les humains arrivèrent, certains voulurent aussitôt rentrer chez eux. Qu'avaient-ils à faire ici ? Que c'était-il passé pour qu'ils arrivent dans ce monde étrange regorgeant de dangers ? Certains voulurent rentrer et le portail les détruisit impitoyablement. A défaut de pouvoir retourner chez eux, ils durent s'adapter à la vie sur ce nouveau monde. Mais peu à peu les désirs de certains commencèrent à se recouper. Le désir de rentrer, oui, mais le désir de survivre dans ce monde hostile. Certains subirent de pleins fouets la malchance naturelle de ce monde, ils perdirent des proches, perdirent des membres... L'espoir disparut petit à petit et certaines de ses personnes se regroupèrent avec une idée qui pouvait paraître extrême : détruire ce monde ! Pourquoi en arriver là ? Lorsqu'il est impossible de repartir, il faut trouver une réponse à la question du "pourquoi". Pourquoi étaient-ils là ? Etait-ce le destin ? Mais ce monde leur semblait si horrible, si atroce, qu'il ne pouvait pas s'agir d'un monde dans lequel on pouvait vivre. Non. Pour ces malheureux désespérés, ce monde devint un enfer qu'il fallait quitter ou détruire. Et le portail restant inaccessible, ils optèrent pour la deuxième solution.... Petit à petit, ils commencèrent à tout mettre en oeuvre pour détruire ce monde. Par de petites attaques tournées contre les animaux, une rage qui se tourna plus tard contre leurs confrères, les autres humains qui avaient décidés de vivre en paix. Le pire des villages pour eux étaient les espaliens, ces utopiques qui ne semblaient rien comprendre, qui pensaient être là pour sauver ce monde, alors qu'aux yeux des calmetiens, ce monde était insolvable.

Sous le commandement d'un seul et unique chef, un homme nommé Saémon, les calmetiens s'éloignèrent un peu de l'influence grandissante des kurogaris, mais surtout de leurs confrères détestables, les espaliens. Pour cette raison, et aussi pour des raisons stratégiques, ils se posèrent non loin de la Passe, cachés dans la forêt, proche de la mer. Ainsi, ils pouvaient sans difficulté surveiller les allées et venues d'un côté ou de l'autre du monde d'Echino. Pour leur plus grand avantage. Saémon fit de Calméti un village caché, discret, du moins au début. Ils se terrèrent pour échapper aux kurogaris tout en développant d'étranges capacités, particulièrement pour la magie. La magie des ténèbres fut découverte par un drow, lors d'une expérience ratée de nécromancie. Peu à peu, cette magie étrange, cette magie des ombres, commença à voir le jour, à prendre de l'ampleur. Elle devint même la magie la plus répandue dans le petit village. Les règles à Calméti étaient sévères : celui qui entraient, celui qui y naissait, ne pouvait plus en sortir sous peine de mort ! Bien sûr, certains parmi eux changèrent d'avis sur la motivation destructrice et tentèrent de fuir. Peu y parvinrent et la magie des ténèbres resta, apparemment, la propriété exclusive de ce peuple. Personne ne sut que les kurogaris avaient réussi à mettre la main sur cette dangereuse magie.

Leur histoire ne fut pas tellement marquée par le sang, même s'ils tuaient sans pitié tous ceux qu'ils croisaient, sans égard pour leur race, leur âge ou leur sexe. Les calmetiens se cachaient et ils aimaient se cacher pour observer l'évolution du monde dans l'ombre. Sous la direction d'un chef unique et autoritaire dont le titre se transmettait au premier héritier mâle, le peuple commença peu à peu à sortir de l'ombre, mettant au point de terribles procédés. Leurs alchimistes décidèrent de créer un poison violent, évidemment mortel, qui détruirait toute vie sur Echino, y compris la leur.

Mentalité
Les calmétiens ne s'embarrassent pas de scrupules. Ils sont fourbes entre-eux, ils se méfient de tout le monde. En fait, ils ont tellement l'habitude de tuer tout ceux qu'ils croisent qu'ils ont parfois tendance à s'entretuer, mais évidemment le chef du clan ne le permet pas... Même s'il ne le sanctionne pas de manière sévère. Un homme qui se fait tuer trop facilement n'a pas le droit de vivre... Ils n'ont besoin que de personnes fortes. Ne parlons pas de leurs relations avec les étrangers, ces derniers n'arrivent jamais vivant jusqu'à leur village et, si jamais ils y arrivent, les pauvres sont capturés et utilisés pour les expériences. Il n'y a pas d'unions, car les calmétiens n'envisagent l'avenir que dans la mort.

Leur but ultime
Détruire le monde et tout ceux qui l'habitent.


Like a Star @ heaven Les espaéliens

Histoire :

Lorsque les humains arrivèrent, certains voulurent aussitôt rentrer chez eux. Qu'avaient-ils à faire ici ? Que c'était-il passé pour qu'ils arrivent dans ce monde étrange regorgeant de dangers ? Certains voulurent rentrer et le portail les détruisit impitoyablement. A défaut de pouvoir retourner chez eux, ils durent s'adapter à la vie sur ce nouveau monde. Mais peu à peu les désirs de certains commencèrent à se recouper. Le désir de rentrer, oui, mais le désir de survivre dans ce monde hostile. Certains subirent de pleins fouets la malchance naturelle de ce monde, ils perdirent des proches, perdirent des membres... D'autres, un peu plus chanceux, trouvèrent au contraire ce monde pleins de mystères, comme une chance qu'on leur offrait de pouvoir changer de vie. Qui est jamais complètement satisfait de vivre dans son monde ? L'herbe est toujours plus verte chez le voisin, et c'est ainsi que ce petit groupe de personne décida de profiter pleinement des merveilles que leur offrait Echino. D'autres, un peu moins optimistes, décidèrent de chercher à rentrer chez eux, tout en étant prêts à vivre dans ce monde étrange. Le portail restait inaccessible.

Sous le commandement d'un conseil de chefs, les espaéliens fondèrent leur petite communauté, bien à l'abri des regards, cachés à côté des montagnes et complètement à l'opposé des kurogaris qui asservissaient leurs frères. Là-bas, ils construisirent une cité basée sur le respect et sur l'amour, imposant par la douceur des valeurs angéliques ou presque. Sans doute étaient-ils trop pacifistes, ils ne se défendirent pas beaucoup lorsque quelques animaux sauvages commencèrent à les attaquer régulièrement. Enterrant leurs morts tout en s'accrochant à leur espoir, ils développèrent peu à peu une magie protectrice, la magie lumineuse. Les espaéliens étaient très ouverts aux étrangers, prêts à accueillir tout le monde. Leur petit village vivait dans la paix et l'harmonie. De plus, les kurogaris ne semblaient pas les avoir remarqué, ce qui était un point essentiel à leur sécurité. La plupart de ceux qui vinrent chez les espaéliens y restèrent, amoureux de cette ambiance de paix quand le reste du monde saignait. Mais jamais les espaéliens ne perdirent de vue leurs objectifs : pacifier le monde et mettre fin à ces guerres incessantes. Mais ils n'avaient rien de guerriers sans peur, bien au contraire. Pour cela, il leur fallait des alliés, des gens puissants pour se battre à leur place, tandis qu'ils les soutiendraient par le soin et la protection.

Jamais, ou presque jamais, les espaéliens ne laissèrent le sang marquer leur histoire. Honnêtes et bienveillants, parfois considérés comme simplets à cause de leur utopie, ils continuèrent à espérer pouvoir transformer ce monde en havre de paix. Certains pourtant apprirent l'art de combattre, l'art de la magie, mais rares sont ceux qui s'en servirent pour autre chose que pour protéger la cité des attaques de monstres. Evidemment, les écoles furent créées, mais l'école militaire, particulièrement, se trouva plus ou moins désertée. Les grands chefs qui les conduisirent à construire la cité furent remplacés au fil des ans par un conseil d'anciens, composé de cinq membres élus régulièrement par le peuple. A présent, les espaéliens commencent à oeuvre pour leurs idéaux, envoyant des émissaires chez les autres clans afin de demander une alliance, un traité de paix.

Mentalité
Les espéaliens sont bons, parfois même un peu trop. Gentils avec tous le monde, ouvert, honnêtes, ils pourraient être parfaits s'ils n'avaient pas cette part de naïveté qui les laisse croire que jamais ils ne seront inquiétés par les kurogaris ou par les calmétiens. Un peu "en-dehors de la réalité", ils sont en fait de doux rêveurs vivant simplement, travaillant la terre et appréciant la nature. Les unions sont fréquentes et nombreuses, les espéaliens vivent dans la fidélité et l'amour le plus absolu, le mariage se faisant devant les cinq sages.

Leur but ultime
Pacifier le monde.


Like a Star @ heaven les membres de la communauté elfique

Histoire :
Cette petite communauté regroupe des elfes comme des elfes noirs. Ce peuple de la forêt a une histoire étrangement coupée. Vivant simplement jusqu'à l'avènement de la fin des dieux, ils virent leur quotidien changer par l'arrivée des humains. Ils ne réagirent pas, ils ne le firent pas assez vite du moins. Pour eux, le temps est infini et n'a donc que peu d'importance. Ils furent rapidement dépassés par l'expansion phénoménale des kurogaris, ils ne purent rien faire lorsque ces derniers détruisirent leurs cités afin de les asservir. Certains parvinrent à s'échapper et trouvèrent refuge dans les autres villages. D'autres se rallièrent aux kurogaris, d'autres encore restèrent esclaves par faute de pouvoir s'enfuir. Le temps s'écoula, mais la frustration des elfes ne faisait que croitre. Ils avaient perdu leurs cités, leurs repaires, ils devaient se plier aux règles des cités humaines, qui n'étaient jamais les leurs. Pour ces raisons, un jour un elfe noir prit la tête d'un petit groupe d'elfes et décida de reconstruire ce qu'ils avaient perdu, de remettre en place un village où les valeurs des elfes sylvains et des elfes noirs seraient appliquées, en attendant que les deux catégories elfiques puissent avoir un village chacun. car même s'ils s'entendaient pour la reconstruction, ils étaient loin d'être toujours en accord.

Mentalité
Ils sont prêts à tout pour avoir leur petit village, particulièrement les drows. L'entente est très précaire entre les elfes sylvains et les elfes noirs, les tentions sont courantes et n'amènent malheureusement à rien. Il est difficile pour eux de parvenir à s'entendre alors qu'ils sont si différents et malheureusement, leurs désaccords les ralentissent dans leur projet. Il n'y a qu'une chose dont ils sont sûrs : ils veulent leur village !

Leur but ultime
Redonner vie et indépendance au peuple elfique.
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